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klausjordan98

Emplacement Des Delinquants Sexuels : Les Stratégies De Prévention Et D'Enquête De La Police



Le document du registre des délinquants sexuels peut être consulté gratuitement. Le service de police facture des frais administratifs de 5 $ pour les copies de la liste. Un bref formulaire doit être rempli avant d'obtenir la liste auprès de l'unité des services d'enregistrement et d'information du département, située au 1805 33rd St.


La loi de l'État limite les services de police des délinquants sexuels autorisés à publier en ligne. Certains délinquants sexuels qui ont été reconnus coupables de certains types de délits ne peuvent pas être inclus dans les listes Web.




Emplacement Des Delinquants Sexuels




Le registre des délinquants sexuels du Colorado, disponible en ligne et auprès du Colorado Bureau of Investigation, ne comprend que les personnes reconnues coupables de certains actes de comportement sexuel illégal depuis le 1er juillet 1991 et qui se conforment aux lois sur l'enregistrement des délinquants sexuels. Les personnes ne devraient pas compter uniquement sur le registre des délinquants sexuels comme protection contre les auteurs d'agressions sexuelles dans leurs communautés. Le crime pour lequel une personne est condamnée peut ne pas refléter avec précision le niveau de risque.


Les délinquants sexuels ont le droit, en vertu de la loi du Colorado, de vivre dans la communauté de leur choix, avec ou sans résidence fixe, à condition qu'ils s'enregistrent en conséquence. Si quelqu'un n'a pas de résidence fixe, il doit fournir un emplacement spécifique qui peut être vérifié. Le service de police et le gouvernement de la ville n'ont aucune autorité pour contrôler ces circonstances, sauf pour alerter le public, maintenir les enregistrements et vérifier qu'ils vivent bien là où ils indiquent.


Au Québec, 3% des délinquants sexuels récidivent, selon les résultats d'une récente étude. Mais plus du tiers reviennent dans le système judiciaire pour d'autres formes de crimes. La raison? L'accent est mis sur l'évaluation psychosexuelle de ces gens-là, alors que leurs défis, leurs difficultés sont beaucoup plus larges. On est tellement préoccupés à prévenir la récidive sexuelle, qu'on oublie de prévenir le reste, plaide Patrick Lussier, professeur à l'École de travail social et de criminologie à l'origine de cette recherche.


On tient pour acquis que les délinquants sexuels représentent un sous-groupe bien distinct, qu'ils sont différents des autres contrevenants. Mais dans les faits, ce n'est pas du tout ça, avance celui qui a travaillé en milieu clinique pendant cinq ans avant d'enseigner. Quand il rencontrait ces individus, quand il les écoutait parler de leurs crimes, de leur motivation, il ne voyait pas beaucoup de différences avec ceux qui ont commis un cambriolage ou de la violence conjugale. Il y a des causes communes au passage à l'acte.


Cette tactique touche la cible, d'après le faible de taux de récidive sexuelle, mais elle met de côté des difficultés qui nuisent à la réinsertion sociale de ces gens-là, estime le professeur Lussier. Bon nombre de délinquants sexuels ont des carences en ce qui concerne leur capacité à vivre sainement en société.


Ils éprouvent des difficultés à maintenir des liens familiaux, à trouver un emploi ou un logis, à avoir un revenu stable et adéquat, à entretenir des relations avec un voisin ou un collègue, à rester sobre, énumère le chercheur. Il arrive que certains programmes de soutien dans la communauté les refusent, parfois parce qu'il y a des femmes, parfois parce que l'emplacement est près d'une école ou d'un parc, ce qui pourrait contrevenir à leurs conditions de probation ou de libération.


Si tous les délinquants sexuels ne vivent pas le phénomène des portes tournantes, certains sont plus à risque. Comme les personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale ou de consommation abusive. Un des éléments qui ressort de notre étude, c'est le problème de toxicomanie. Ce n'est pas ce qui nous vient en tête quand on pense aux délinquants sexuels, mais ça semble être un facteur qui fait en sorte que ces gens-là reviennent dans le système pénal.


Les jeunes adultes qui ont un antécédent judiciaire en matière de crime sexuel et qui ont déjà été incarcérés dans un établissement fédéral, donc pour un délit plus grave, sont aussi plus à risque de développer d'autres formes de comportements criminels et d'être pris dans cet engrenage. S'ils reviennent dans le système pour un délit mineur autre que sexuel, ils risquent d'être encore considérés et étiquetés comme délinquants sexuels et de vivre de la marginalisation. C'est comme s'il y avait des effets à long terme. On parle d'une panoplie de difficultés qui s'accumulent avec les années, soulève le professeur Lussier.


Au Canada, les registres de délinquants sexuels ne sont pas publics et servent essentiellement au travail des enquêteurs. Alors qu'une partie de la population souhaite y avoir accès, Patrick Lussier salue plutôt la décision de la Cour suprême du Canada, le 28 octobre dernier, d'en restreindre l'utilisation. La Cour a conclu que l'inscription obligatoire de tous les délinquants sexuels qui cumulent plus d'une condamnation, quel que soit leur risque de récidive, a une portée excessive. Et que le maintien des délinquants dans le registre pour le reste de leur vie viole la Constitution canadienne.


Si nous n'en sommes pas là au Canada, le professeur soulève chez nous le manque d'études sur l'expérience des contrevenants qui ont des antécédents en matière de crimes sexuels. Pour maximiser les possibilités de réinsertion sociale de ces gens, il faut aller investiguer leurs perceptions, leurs difficultés et leurs défis une fois qu'ils sont sortis du système pénal et qu'ils retournent dans la collectivité. Au-delà de l'analyse de chiffres, il faudra faire des entrevues, croit-il, tout en soulevant les défis éthiques et logistiques de telles démarches.


Les recherches sur le VIH et le sida au Canada sont multidisciplinaires. Ce chapitre présente un aperçu des projets de recherche sur les personnes vivant avec le VIH/sida (PVVHI) financés entre 2008 et 2010, axés sur la recherche dans les domaines suivants : comportement, économie, épidémiologie, droit et psychosociologie. Des caractéristiques sélectionnées sont relevées dans l'analyse des projets, y compris l'emplacement géographique et la population concernée. Les caractéristiques de projet analysées comprennent la capacité de la recherche communautaire, la diffusion des résultats, les recherches sur les politiques de santé, et le transfert des connaissances. D'autres thèmes de recherche analysés comprennent les déterminants de la santé, le traitement, la santé mentale, et la résilience. Une liste complète des 148 projets relevés se trouve à l'annexe B, avec leurs résumés initiaux (le cas échéant).


L'emplacement géographique de chaque projet de recherche a été évalué en déterminant la province ou le territoire où la recherche est menée. La majorité des 148 projets de recherche n'indiquent pas un endroit principal pour la recherche. Parmi les 71 projets qui indiquent un endroit pour la recherche, 18 projets ont été effectués en Colombie-Britannique. Dix sont effectués en Alberta, en Saskatchewan, et au Manitoba, avec une moyenne de trois projets par province. Quinze projets sont basés en Ontario, et 10 au Québec. Trois projets sont situés dans la région de l'Atlantique. De plus, 15 projets étaient désignés comme ayant une portée nationale. Aucun des projets actuellement relevés n'est mené dans les territoires.


Parmi les recherches financées, six projets sont centrés sur des populations autres que les huit populations désignées dans l'Initiative fédérale de lutte contre le VIH/sida au Canada. La population d'étude d'un projet concerne les hommes hétérosexuels vivant avec le VIH [R91]. Deux projets étudient l'expérience de personnes âgées canadiennes vivant avec le VIH [R59, R138]. Un projet se concentre sur les personnes vivant avec le VIH dans les endroits ruraux et isolés [R72], et un autre se concentre sur les travailleurs du sexe [R50]. Deux projets examinent l'amélioration de la prise de médicaments antirétroviraux et des soins liés au VIH chez les travailleurs du sexe [R50, R109].


Huit projets portent sur le renforcement des capacités [R5, R24, R25, R29, R88, R91, R92 et R108]. Quatre de ces projets sont axés sur des populations précises, y compris les Autochtones [R5], les utilisateurs de drogues injectables [R24], les hommes hétérosexuels [R91] et les femmes vivant avec le VIH [R92]. Les autres projets sont financés pour élaborer des réseaux de recherche pour le renforcement des capacités qui examinent les influences réciproques entre la séropositivité et d'autres déterminants de la santé.


Dix-neuf projets étudient les habitudes de vie et les compétences d'adaptation personnelles. Les sujets de recherche comprennent la consommation d'alcool [R17], le tabagisme [R8, R51], les comportements sexuels [R7, R12, R35, R45, R98, R122, R124, R133], le dépistage du VIH [R35], et la divulgation de sa séropositivité [R12, R53, 112, R122]. Les populations de PVVIH visées incluent les hommes gais, les jeunes sans-abri, les jeunes nés avec le VIH, les personnes incarcérées et les Autochtones.


Parmi les priorités organisationnelles du SCC, on retrouve la prestation d'interventions efficaces et en temps opportun pour répondre aux besoins en santé mentale des délinquants. Afin de fournir de bons services à ce chapitre, le SCC a consacré près de 77 millions de dollars au cours de l'exercice 2015-2016 aux services en santé mentale, lesquels sont offerts dans des hôpitaux psychiatriques, des centres de traitement, des établissements réguliers et à différents emplacements dans la collectivité.


Pour reconnaître le rôle essentiel que jouent les familles des anciens combattants vivant avec des problèmes physiques et de santé mentale en raison de leur service, le budget de 2017 propose d'investir 147,0 millions de dollars sur six ans, à compter de 2016-2017, et 15,0 millions par année par la suite, pour élargir l'accès aux centres de ressources pour les familles des militaires afin de les rendre accessibles aux familles des anciens combattants libérés pour des raisons médicales à compter d'avril 2018. Cette mesure accroîtrait le nombre de centres de ressources pour les familles des militaires accessibles aux anciens combattants libérés pour raisons médicales, qui passerait de 7 en vertu du projet pilote actuel à l'ensemble des 32 emplacements partout au pays. 2ff7e9595c


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